Le Baugeois (cet étrange canton d’Anjou où j’ai grandi) a cette particularité de compter plusieurs clochers d’églises dits « tors » (autrement dit, qui partent en vrille). Les légendes ne manquent pas pour expliquer leur existence. J’ai voulu apporter ma contribution au fantasme collectif en imaginant 3 coupables possibles : un charpentier ivre, un architecte peu scrupuleux et un curé mégalo.
L’enregistrement date de 2005, à l’époque où je jouais encore de la trompette (je vous parle d’un temps que les moins de 20 ans…).
Le dernier larron, notre bon curé
Avait reçu carte blanche de l’évêché
Il était en odeur de sainteté
C’était ainsi qu’on disait dans le métier